Les déceptions amoureuses perturbent les habitudes alimentaires
Du fait des changements hormonaux causés par le choc sentimental, les habitudes alimentaires se voient intensément perturbées. On finit par développer ce qu’on appelle une alimentation émotionnelle. Dans le plus grand des cas, c’est une perte de l’appétit qui est observé. De façon inexpliquée les kilos chutent par la seule force des ressentiments. A cause de l’augmentation du taux de cortisol par la détresse, tout le système digestif prend un coup, créant des problèmes gastro-intestinaux.
Les peines de cœur troublent la concentration et favorisent la dépression
Plus on a été heureux dans la relation, plus grande est la peine au moment de la séparation.
La chute de la phényléthylamine peut alors être est principalement la cause de ce mal-être. En effet, c’est en partie grâce à cette molécule, présente dans le cerveau, que les amoureux partagent leurs émotions fortes et intenses. Plus on est amoureux, plus elle est élevée. C’est donc tout naturellement qu’on déprime quand on perd sa moitié et qu’on se laisser à rêvasser. Plus rien n’a d’intérêt et ne mérite votre attention.