Selon des scientifiques, forcer le sourire au travail nous pousserait davantage à consommer plus d’alcool 

Etude Scientifique

Selon des scientifiques, forcer le sourire au travail nous pousserait davantage à consommer plus d’alcool  1
Source : http://www.keywordbasket.com/dG9ub3BsYXN0IGFsY29ob2wgZGFtYWdl/

Aux états-unis, une équipe de chercheur de la Penn State University, a mené une étude qui a été faite sur 1592 travailleurs américains. L’équipe scientifique avait étudié principalement les habitudes de consommation de ces travailleurs. L’analyse regroupait dans ce sens les employés qui étaient toujours exposés à des publics externes, entre autre des infirmiers, des commerciaux, des vendeurs, des enseignants, des téléconseillers…

A l’issu de cette étude, il semblerait que les personnes exerçant des fonctions qui contraindrait à toujours sortir s’adonne particulièrement à des vices de consommations au sortir du boulot. Le fait de toujours essayer de garder bonne figure et garder ses émotions pour soi aurait des répercussions négatives sur leur vie en dehors du travail. Ces personnes ont beaucoup tendance à se pencher vers l’alcool à la fin de la journée bien plus que les autres.

Syndrome de l’hôtesse de l’air

Selon des scientifiques, forcer le sourire au travail nous pousserait davantage à consommer plus d’alcool  2
Source : http://bigworldtale.com/travel/flight-attendant-reveals-5-questions-hate-no-cant-move-seats/

Certains métiers exigent certaines aptitudes émotionnelles au travail. Parmi ces aptitudes se trouvent la capacité de masquer ses émotions propres et feindre la bonne humeur en tout temps et circonstances. Que vous ayez face à vous un client insatisfait ou trop capricieux, vous avez l’obligation de garder bonne mine. Vous devez toujours avoir le sourire généreux quoiqu’il arrive car le client est roi. Entre maîtriser ses humeurs et faire semblant d’avoir la pêche, garder l’air serein, le risque de dépression est profond. Etre souriant ne veut pas dire qu’on est forcément gai et joyeux. On sourit parce qu’il le faut, qu’importe nos sentiments.